Quel est l’impact des jeux vidéo sur la santé ?

santé et jeux vidéo

Grâce aux nouvelles technologies, l’univers des jeux vidéo ne cesse de se révolutionner ainsi, les ventes connaissent toujours un franc succès. Petits et grands se laissent tenter par une partie pendant leur temps libre. Certaines personnes disent que les jeux vidéo sont d’excellents moyens pour se divertir alors que d’autres ne les cautionnent pas. Mais quel est alors leur réel impact sur la santé ? Tout de suite, découvrons ensemble le rapport entre les jeux vidéo et la santé.

Les impacts positifs des jeux vidéo

Certes, les jeux vidéo sont divertissants, mais ils permettent également de se détendre. Quand on s’y met avec modération, ils peuvent être bénéfiques sur la mémoire et la concentration. Les jeux vidéo permettent d’avoir une meilleure capacité de réflexion. En effet, lors des parties, on doit souvent faire des choix ainsi, on est dans l’obligation de prendre rapidement les bonnes décisions. Ils sont aussi bénéfiques pour la concentration. On doit toujours être très attentif aux détails afin de réagir à temps. Les jeux vidéo sont de bons moyens pour aiguiser le sens de l’observation et la concentration. Et encore, ils stimulent bien la mémoire parce que pour remporter une partie, on doit se rappeler de plusieurs éléments, des touches et des combinaisons. Donc, en jouant à des jeux vidéo, la mémoire est constamment stimulée.

Les impacts négatifs des jeux vidéo

Les jeux vidéo n’ont pas que des impacts positifs, surtout s’il y a un abus. Parmi les risques néfastes, il y a l’exposition excessive aux écrans. En étant assis de longues heures devant un écran, on expose nos yeux à la lumière bleue. C’est une lumière artificielle qui impacte négativement sur le sommeil et la vue. Aussi, une pratique abusive implique un manque d’activité physique. On se sédentarise, car on passe beaucoup de temps à jouer aux jeux vidéo. Cela entraîne des risques d’obésité. Il y a également l’isolement partiel ou total puisqu’on vit désormais dans un univers virtuel. Le plus grand risque est que l’on aura du mal à faire la différence entre l’imaginaire et la réalité. Et encore, on voit souvent des images violentes qui, chez les enfants, peuvent créer des peurs ou des angoisses. De ce fait, les parents doivent être prudents quant à la limite d’âge annoncée sur les jeux vidéo.

Bien jouer aux jeux vidéo

jeux vidéo et santé
Crédits : Pixabay

Si on veut profiter des bienfaits des jeux vidéo sur la santé, il faut adopter des bonnes pratiques. D’ailleurs, cela évite de tomber dans l’excès. On fixe des règles en établissant des créneaux horaires ou des temps d’utilisation par jour ou par semaine, et on respecte cela. Après, on privilégie les parties de jeux vidéo entre amis pour éviter l’isolement et pour garder un lien social. Ensuite, on pense aux activités extérieures. On fait régulièrement du sport, on n’oublie pas les sorties culturelles aux musées ou au cinéma… Pour information, l’addiction aux jeux vidéo fait partie de la Classification internationale des Maladies de l’OMS (Organisation mondiale de la santé). C’était effectif depuis l’année 2018, et c’est baptisé « trouble du jeu vidéo ».

Le CBG : qu’est-ce que c’est ?

Depuis sa découverte en 1940, le CBD n’a cessé de gagner en popularité. Cette substance active du cannabis possède en effet de nombreuses vertus thérapeutiques. Mais savez-vous qu’il existe une autre cannabinoïde qui présente de nombreux intérêts pour l’organisme ? Il s’agit du CBG ou cannabigérol. D’où vient-il ? Qu’est-ce qui le différencie du CBD ? Tout ce qu’il y a à savoir se trouve dans cet article.

Le CBG : tout ce qu’il faut savoir

Tout comme le THC et le CBD, le CBG est aussi une molécule du chanvre. Malgré le fait qu’il ne soit plus populaire que les deux autres, il faut savoir que le cannabigérol est le précurseur des cannabinoïdes. Le CBG provient du CBGA, sa version acide. Pendant la période de développement du cannabis, la totalité du CBGA se transforme en THCA et en CBDA. Lors de la récolte des plantes, il ne reste plus que 1% de CBG. Néanmoins, de nombreuses études ont affirmé que ce dernier présente de nombreux avantages. Tout comme le THC et le CBD, cette molécule a également une grande importance. Si le THC se lie au récepteur CB1 (cerveau), le CBG quant à lui s’associe aux récepteurs CB2 (intestin – système nerveux et tissus conjonctifs).

Les avantages de l’usage du cannabigérol

Tout comme le CBD, le CBG ne provoque pas d’effet psychotrope. On peut donc le consommer légalement. Au début des années 1990, de nombreux chercheurs ont essayé de traiter le glaucome avec du CBG. Lors des essais, le produit a en effet réduit la pression intraoculaire. Il est donc probable que le CBG peut guérir cette maladie. Récemment, des études ont aussi affirmé que le CBG est très efficace pour lutter contre les maladies inflammatoires, notamment celles de l’intestin. Effectivement, la prise de CBF diminue la production d’oxyde nitrique. Il amoindrit de ce fait la colite murine. Enfin, il joue un rôle important dans la lutte contre les maladies neurodégénératives comme la maladie de Huntington.